Aujourd’hui, de plus en plus de courtiers font leur apparition sur le marché. Cela est dû à l’ampleur que prend le monde du trading des actions. L’un des plus sollicités est Freedom Finance qui se spécialise dans les IPO (Initial Public Offering). Ce dernier offre également d’autres services et instruments financiers très intéressants. À travers ce guide, vous découvrirez quelques-unes des différentes offres faites par Freedom Finance afin de savoir s’il répond à vos attentes.
Le portail Freedom24
Le courtier Freedom Finance propose à sa clientèle un portail de Trading Freedom24 unique et particulier. Il est possible de découvrir ce qu’est réellement cette offre et son efficacité en consultant par exemple un Freedom Finance avis. À noter que ce portail permet de réaliser des achats et ventes de divers titres :
- Les introductions en bourse ;
- Les actions ;
- Les ETF ;
- Les fonds de placement négociés en bourse ;
- Les contrats à terme.
Freedom24 représente donc une application qui donne la possibilité d’avoir accès à nombre d’investissements boursiers sur divers marchés. À noter que le portail réunit les cours qui sont supérieurs à 40 000 valeurs cotées en Asie, aux États-Unis et en Europe. L’application est accessible en 3 versions : mobile, pour navigateur web et pour bureau.
Le compte D Freedom Finance
Une autre offre de Freedom Finance est un type de compte épargne qui se nomme compte D. Ce compte offre aux utilisateurs :
- Un taux brut annuel de 3 % qui s’applique au quotidien. À cet effet, les intérêts créditeurs seront versés chaque jour ;
- La possibilité de profiter d’une rémunération sur les liquidités inutilisées. Il s’agit de fonds en attente d’usage pour une autre IPO, des gains encaissés ;
- Les dollars américains sont pris en charge par ce compte. De fait, il faudra convertir en dollars lors de dépôt sur le compte D.
En tenant compte de ses quelques offres, il est relevé que Freedom Finance propose à sa clientèle des services assez uniques sur le marché français. Il permet également aux investisseurs européens de faire l’acquisition de nouvelles actions de sociétés européennes, mais aussi américaines. Et cela, à leurs coûts d’introduction en bourse sans différence.